Le CG aide Dunlopillo

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vendredi 27 février 2015

En investissant 10 M€ dans l’acquisition de terrains à Mantes-la-Jolie et Porcheville, le Conseil général a mis fin au projet de délocalisation de l’usine Dunlopillo dans le Nord. Il assure ainsi la pérennisation de l’entreprise dans le Mantois et sauve plus de 300 emplois directs.

Dunlopillo - Organisation du déménagement de Mantes à Limay et Porcheville
Les acteurs du maintien de Dunlopillo dans le Mantois : Pierre Bédier et le sous-préfet Philippe Portal, Michel Vialay, maire de Mantes-la-Jolie, Paul Martinez, Président de la CAMY, Gilles Silberman, dirigeant du groupe Dunlopillo, les représentants de la CGT et les élus de Limay (Eric Roulot et Jacques Saint-Amaux).

Vendredi 13 février 2015, à Mantes-la-Jolie, le protocole d’accord qui organise la réinstallation de l’entreprise Dunlopillo à Limay et Porcheville a été signé par toutes les parties prenantes. L’épilogue d’un dossier complexe, objet d’incertitudes depuis plusieurs mois.

Pierre Bédier, le Président du Conseil général, est venu lui-même validé l’engagement du Département : un investissement décisif de 10 M€ pour sauver plus de 300 emplois directs et contribuer à la modernisation et à la pérennisation de cet outil industriel historique du Mantois.

« L’action du Conseil général, et plus particulièrement de son Président Pierre Bédier, a été déterminante. Il a tenu la promesse qu’il nous avait faite il y a un an. Nous lui sommes tous reconnaissants », tiennent à souligner en chœur les délégués syndicaux de la CGT Dunlopillo de Mantes-la-Jolie.

300 emplois valent la peine de s’engager pour les sauver”, Pierre Bédier.

Au travers d’Yvelines Aménagement, mandaté pour trouver les montages économiques, et de l’EPFY (Etablissement public foncier des Yvelines), le Département va procéder à l’acquisition du site de Mantes-la-Jolie, où Dunlopillo est actuellement installé, et de l’usine Ros-Casares à Porcheville, l’un des deux sites où la filiale du groupe Cauval va déménager ses activités.

« Nous sommes ravis d’avoir pu trouver une solution pour sauver Dunlopilllo, se réjouit Pierre Bédier. Lutter pour maintenir l’emploi sur notre territoire, et notamment dans le Mantois, qui a souffert de la désindustrialisation, est une de nos priorités. 300 emplois valent la peine de s’engager pour les sauver. »

La réaction de Dominique Leroy, secrétaire-adjoint du CE et délégué syndical CGT :

Nous avons eu des interlocuteurs de qualité pour sauver plus de 300 emplois et garder Dunlopillo dans le Mantois. Nous sommes très contents.”

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